Le journaliste démontre que la violence quotidienne et instinctive animale est un moyen de survie, les prédateurs trouvant des armes plus sophistiquées au fil de l'évolution, et les proies des stratégies de protection plus subtiles. Il compare les comportements violents animaux et humains (meurtre, perversité...) et constate la transformation par l'homme de la violence en agressivité corrompue.